DJI, marque réputée pour ses drones (Mavic pro, Spark), et pour sa gamme Osmo, lance l’Osmo Action, une rivale directe de la GoPro Black : même design, nombreuses fonctionnalités communes et un tarif de 379 euros situé dans la même fourchette que la Hero7 Black, à 50 euros près. Concurrencer GoPro qui détient toujours la tête du marché des caméras d’action, n’est pas aisé. En outre, DJI arrive bien tard sur un marché lancé… en 2008 ! Mais le match avec la firme californienne n’en est que plus passionnant.

Justement comparons : côté accessoires, chez DJI, on dispose d’1 batterie, 1 fixation adhésive, une base à démontage rapide, un cadre, un capuchon-filtre, un câble USB type C / Micro USB, 1 vis de serrage. La base à démontage rapide de DJI est très astucieuse car elle permet de clipser / « déclipser » en 1 seconde l’Osmo Action de son point d’attache. Cette même opération prend un temps infiniment plus long chez GoPro. GoPro a donc quasiment les mêmes accessoires à l’exception de cette base à démontage rapide.

L’Osmo Action revendique un capteur 1/2,3 pouce de 12Mp. DJI exploite une petite micro-SD. L’enregistrement s’effectue en 4K 16:9, 4K 4:3, 2,7K, 1080p ou 720p, des résolutions comparables à GoPro. Le 50 / 60p sont possibles en UHD en H.264, alors que GoPro implique du H265 en 50p / 60p (mode « H.264 et HEVC »). Un ralenti 4x ou 8x est aussi intégré chez DJI en 1080p et 720p, et le HDR est de la partie. Le débit atteint 100 Mbps au maximum. Petit détail, on apprécie chez DJI la clarté du système de résolutions / fréquences. C’est moins direct chez GoPro.

En Photo, contrairement à GoPro, DJI propose un mode Photo par intervalles capable d’enregistrer en RAW DNG. C’est une première à ma connaissance sur une Actioncam. 

L’angle de champ culmine à 145 degrés, un angle qui semble situé entre le mode Large (127°) et le mode SuperWide (170°) de la Hero 7 Black. Et donc en toute logique, assez déformant. L’Osmo Action a fait le choix d’un unique angle de vue (POV) alors que GoPro en propose 2 ou 3 (SuperView, Large, Linéaire,) selon la résolution. Cet angle unique de DJI simplifie les combinatoires car chez GoPro, selon la résolution choisie, certains angles sont indisponibles. Par exemple en 4K, le mode Linéaire est indisponible. Ce qui oblige à des choix cornéliens parfois.

Sur l’Osmo Action, il n’existe donc qu’un seul POV mais c’est plus compliqué que cela ! Chez DJI, le calcul varie considérablement selon la résolution, le ratio, l’activation du Dewarp (voir ci-après) ou celle du stabilisateur RockSteady. Ajoutons que l’angle de champ reste toujours un sujet sensible, certains ne jurant que par le super grand-angulaire, d’autres préférant un angle le moins déformant possible. Saluons DJI qui a levé une majeure partie du voile en répondant à nos questions sur ce point.

L’angle de 145° correspond en fait à une configuration peu utilisée (4K/30 en 4:3) sans stabilisation ni Dewarp. Et l’angle peut se réduire jusqu’à 89° (!) en 4K/30 en 16:9 avec Rocksteady et Dewarp, soit grosso modo l’équivalent du mode Linéaire à 90° chez GoPro. Sans stabilisateur ni Dewarp, on atteint les 114°.

Selon qu’on utilise ou non le stabilisateur, en 16/9, on perd donc environ 15% d’image. GoPro subit aussi une réduction d’angle mais moins marquée (10% de réduction d’angle minimum par rapport au mode Large, soit 115°).

DJI semble avoir été tellement obnubilé par la distorsion qu’il a dédié un mode supplémentaire à cette correction. Ainsi grâce à la fonction Dewarp, on peut atténuer l’effet de déformation et aboutir à une image légèrement rognée mais encore moins incurvée.

En 4K, sans Dewarp…

puis avec Dewarp… On observe que la correction du Dewarp rectifie bien les courbures.

La batterie, au-dessous, répond à un concept différent de GoPro. Contrairement à GoPro dont le « couvercle » ouvert, est relevé à 90°, il suffit de « délocker » le verrou et le système d’éjection pour retirer la batterie. 

 La batterie complètement chargée (AB13) tient 135 minutes en 1080/30p (avec la fonction RockSteady désactivée), ou pendant 63 minutes pour une vidéo 4K/60 ips. Temps de charge : 1H30 avec adaptateur USB, c’est moins que chez GoPro (environ 2 heures). Pour charger plusieurs batteries en même temps, chez DJI, une station de recharge pour 3 batteries permet de recharger l’ensemble en moins de 130 minutes. Elle est proposée en kit avec 1 seconde batterie pour 89 euros. Mais il semble exister aussi un chargeur multiple 4 batteries (!) chez un revendeur spécialisé français pour 39€. GoPro n’est pas désavantagé puisqu’on trouve le même dispositif : il existe notamment un chargeur double et même triple (Patona (voir test), moins de 20 euros).

Surprise, l’Osmo Action dispose de deux écrans couleurs :  le 1er à l’arrière est tactile pour servir d’interface de commande, alors que le second, à l’avant, offre une visualisation complémentaire pour les selfies.

L’Osmo Action se caractérise par un classique écran arrière 16:9 tactile de 2,25 » en 640 x360 et 325 ppp, donc très légèrement plus grand que celui de la Hero7 Black (2 »).  La luminosité de l’écran est réglable, a priori on consomme plus si on éclaircit l’écran. Donc méfiez-vous d’un écran trop éclairci. La bonne surprise vient qu’il est secondé d’un écran avant carré, plus petit (1,4 », 300 ppp) et non-tactile, mais dont la présence est bien plus utile que l’écran de données N&B de la GoPro. En effet, grâce à cet écran avant, les vloggers (de voyage par exemple) vont pouvoir se filmer en ayant une bonne approximation de leur cadrage. A l’usage, avec une GoPro, sans contrôle monitoring, c’est impossible de savoir si on est bien cadré. On est souvent trop haut ou trop bas, nécessitant un contrôle sur smartphone, peu pratique, ou une vérification des images filmées. L’écran avant peut s’avérer également utile en Photo pour un banal selfie.

La simultanéité des écrans est exclue. On passe de l’écran avant à l’écran arrière et vice versa de plusieurs façons : soit grâce au bouton à accès rapide (QS) situé sur le côté (en maintenant le pression). Soit en tapant deux fois sur l’écran principal avec 2 doigts (et rebelote pour le sens contraire). Soit enfin et c’est le plus pratique, en prononçant « Screen Switch ». Et c’est immédiat !

La qualité d’image du DJI est très proche de celle de GoPro. Elle a tendance à vite surexposer par temps trop ensoleillé. Il faut ajuster le Spot metering en conséquence et jouer avec le réglage des EV (Exposure Value) accessible d’un balayage sur l’écran vers la gauche. Tentez -0,3EV par exemple. Par rapport à GoPro, DJI a simplifié : ici aucun mode Protune mais un mode Couleurs standard ou un mode D-Cine-Like. Ce dernier est un précalibrage, donnant un peu de « chaleur » à la vidéo, mais qui n’égale pas le mode Protune. 

Une autre solution est d’exploiter le HDR vidéo qui « re-bleuira » un ciel un peu cramé. Il est incontestable qu’il pallie certaines situations comme le cas typique d’un ciel en sortie d’un tunnel dont il rééquilibre la luminosité. Il renforce aussi le bleu du ciel dans des conditions en apparence pourtant bien moins extrêmes comme cette table et ces tasses sous un tilleul.

Mais recourir au HDR n’est pas la panacée puisque le HDR est incompatible avec la stabilisation… Il est donc impossible de concilier du HDR et l’activation de la stabilisation.  

De même, la qualité des photos, qu’on peut enregistrer en jpg ou RAW (DNG) en 12Mp reste bonne (voir l’accès aux fichiers-tests en bas de page), grâce au processeur, mais inférieure à celle d’un bon smartphone. Cependant la focale plus large de l’Osmo dame le pion à l’angle de vue plus restreint des smartphones (hors lentille additionnelle). 

En revanche, dès qu’il s’agit de vues nocturnes, l’Osmo Action est aussi à la peine que GoPro sauf si on active le mode HDR qui éclaircit franchement la scène. Mais dans ce cas, on observe une montée des Iso. Le bruit image commence dès 800 Iso. A 1600, 3200 ou 6400 Iso, c’est mauvais avec un bruit vraiment très important.

De plus, on a quasiment le même problème que chez GoPro de nuit avec un floutage des séquences mobiles stabilisées.

Comme chez GoPro, une commande vocale permet par exemple de lancer la vidéo, ou éteindre l’Actioncam… mais seulement en anglais ou en mandarin.

Sans caisson, l’Osmo Action plonge jusqu’à 11 mètres de profondeur (limite de temps non précisée). Un « boîtier » en option peut plonger jusqu’à 60 mètres. Notez aussi la poignée flottante en option.

Nerf de la guerre bien souvent, un système de stabilisation (nommé RockSteady) offre une stabilisation électronique avancée, mais à condition de ne pas utiliser le HDR et le mode 4/3.

Quand une caméra regorge de fonctions, et qu’elle est petite à manipuler, sa logique de fonctionnement intime doit s’avérer la plus ergonomique possible. Premier bon point, on allume / éteint avec le bouton supérieur gauche et on enregistre avec le bouton supérieur droit. On a donc 2 boutons distincts sur le dessus, là où GoPro a placé son 2e bouton (d’allumage) sur le côté. Surtout, inutile de maintenir le bouton chez DJI alors que GoPro impose de maintenir le bouton pour allumer ou éteindre.

L’allumage / déclenchement de l’Actioncam s’effectue en moins de 2 secondes. La réactivité est excellente, un tout petit peu plus rapide qu’avec la Hero 7 Black à première vue. Pratique pour dégainer !

L’accès aux médias est très rapide (balayage écran vers la droite) mais aussi très souple sur l’Osmo Action. Il est possible de sélectionner le type de rush que l’on veut visionner, par exemple, seulement les Ralentis, seulement les Photos, ou encore seulement les Vidéos HDR. On notera les précieuses informations sur l’image qui permettent de connaître quel rush est en HDR, quel rush est en slow motion (et à quelle vitesse quand on lit l’image), etc. Les préférences sont regroupées en glissant l’écran vers le haut, tandis qu’à droite, on accède à des réglages de la Balance des blancs, des Iso, obturateur, EV, du Dewarp, etc. Au-dessous, les résolutions / fréquences et à gauche les Medias (Lecture). Ajoutez les accès directs aux modes. Comme chez GoPro, ça fait beaucoup de possibilités dont il faut mémoriser les emplacements à force de pratiquer.

Coté réglages, plusieurs paramètres manuels et semi-automatiques gèrent l’exposition au mieux au point de faire dire à DJI que son actioncam est « un appareil idéal pour filmer le ciel la nuit ». L’Osmo Action peut également enregistrer et exploiter des modes personnalisés de prises de vues. Mais pas de mode Protune comme chez GoPro.

Un Timelapse est de la partie comme chez GoPro ainsi qu’un mode Photo par intervalles capable d’enregistrer en RAW DNG (absent chez GoPro).

Côté ergonomie, on trouve une interface utilisateur « efficace et conviviale » et 3 boutons qualifiés d’intuitifs par DJI. On recense aussi un bouton QS (Quick Switch) permettant d’accéder directement aux modes et aux paramètres ou de passer de l’écran avant à l’écran arrière.

Il faut acquérir un adaptateur 3,5mm pour connecter un microphone via le port USB-C de la caméra. Parmi les accessoires, on trouve entre autres une station de recharge pour 3 batteries ainsi qu’une base à démontage rapide, pour fixer l’Osmo Action à divers accessoires dont… les GoPro. L’Osmo Action fonctionne avec l’application DJI Mimo compatible iOS et Android

 

Et les défauts de l’Osmo Action ?

Le DJI Osmo Action ne manque pas de (petits) ou gros défauts sur lequel il peut être critiqué. Magazinevideo peut vous dire lequel l’emporte à chaque fois ou s’il y a égalité à l’arrivée.
1) Les accessoires ne sont pas très nombreux mais compte tenu que l’Osmo Action est moins cher que la GoPro, on peut acquérir 1 ou 2 accessoires complémentaires pour le même prix que la GoPro nue. Notez la « portabilité » des accessoires de la GoPro sur l’Osmo Action, ce qui réduit la dépense si vous possédez déjà une GoPro !
 
2) Il faut au moins 1 à 2 batteries supplémentaires pour être confortable. La limite de taille de la batterie de 1300 mAh mais aussi la consommation sensible due à la stabilisation et au processeur, réduisent l’autonomie.
 
3) Absent chez DJI, le zoom manque à l’appel.
 
4) L’Osmo Action est exploitable la nuit ou dans une relative pénombre, même en laissant le stabilisateur RockSteady activé. DJI évoque même « un appareil idéal pour filmer le ciel la nuit ». Mais la nuit ou même en intérieur, en marchant, le stabilisateur fait des siennes. L’image se détériore.
 
5) Certains angles de champ sont obligatoires mais c’est moins violent que chez GoPro. Chez DJI, il y a davantage de latitude en jouant à la fois sur la résolution, le stabilisateur, le Dewarp, etc.
 
6) On note l’absence de sortie audio standardisée pour micro, présente pourtant chez Sony. Du coup, pour DJI, il faut connecter un éventuel micro au port USB-C à l’aide d’un adaptateur de micro 3,5 mm, vendu en option et incompatible avec celui de GoPro ! 
7) L’Osmo Action dispose d’un « Voice Control », possibilité intéressante de commander la caméra à la voix, mais sans localisation en français, mais seulement en anglais ou en mandarin ! Ce sera donc « Start Recording » chez DJI.
8) Le pas de vis est absent. Certes, l’existence de ce support n’empêche donc pas de fixer l’Osmo Action sur un trépied. Mais pourquoi des concurrents ont un pas de vis ?
 
9) Retirer l’Osmo Action de son cadre est moins violent qu’avec la Hero7 Black de son cadre The Frame qui demande un effort certain. Par contre, dans les deux cas, on se coince parfois les doigts de la main gauche en refermant le cadre, preuve décidément que DJI a vraiment conçu un système très proche de celui de GoPro !  

10) L’Osmo Action ne fonctionne qu’en H.264 en MOV ou MP4. DJI a peut-être été refroidi par le débit du H.265 qui nécessite parfois de transcoder le signal avec un utilitaire comme Handbrake, augmentant du coup le poids des fichiers 

11) La porte latérale de DJI (nommée « cache-port USB-C) » est d’une conception très proche de celle de GoPro. Si proche qu’elle a le même défaut : une fois détachée, elle peut se perdre. Pour preuve du risque, l’accessoire se rachète au détail (19 euros chez DJI.  
 
12) La caméra chauffe toujours un peu, voire « beaucoup » dans certains modes (4K notamment). Mais ça n’a rien d’anormal, ni d’inquiétant. La chauffe est réduite de 16% chez DJI. 
 
13) Pas de gestion du GPS chez DJI ni Facebook Live, il faut se contenter du Bluetooth et du Wi-Fi, voilà un manque qui fera réagir.
 
14) Par faible sensibilité, lors d’un mouvement, même léger, DJI (comme GoPro) a bien du mal à ne pas obtenir de scène floutée. C’est encore pire avec le stabilisateur activé. Seule bonne nouvelle : c’est un peu moins prononcé avec le stabilisateur de DJI que celui de GoPro. 
 
15) Lorsque l’actioncam de DJI est dans son cadre, le son est tout aussi clair que chez GoPro mais objectivement moins fort (écoutez nos fichiers-tests) que chez GoPro. Donc un désavantage à DJI car un niveau sonore moins fort peut nécessiter d’augmenter le son au montage avec le risque d’un souffle plus prononcé. 
 
L’Osmo Action évite toutefois le petit défaut des GoPro (passé souvent inaperçu chez mes confrères) dont chaque début de plan est entaché d’une déformation sonore légère, comme si le compresseur audio se mettait en route. C’est systématique, donc reconnaissable. Ce problème est toutefois résolu si on bascule en mode Protune / RAW chez GoPro.

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Le double écran de visualisation
Concept étanche jusqu’à 11 mètres
La base à démontage rapide incluse
Qualité du stabilisateur intégré
L’ergonomie générale
La protection du système de capuchon-filtre
L’effet Dewarp
La commande vocale
La qualité du Ralenti 4x et 8x
L’excellente application DJI Mimo
Le mode Ralenti
Photos en Jpeg ou RAW
Autonomie assez satisfaisante
Mode D-Cinelike
Le temps de latence de l’écran quand le stab. est activé (DJI y travaille)
La difficulté d’insertion / retrait de la carte mémoire
L’absence de sortie micro-HDMI
L’absence de H265
La perte de la stabilisation en mode HDR
Prise micro via USB-C propriétaire
Absence de GPS
Pas de zoom numérique
Pas de mode Protune
Débit 100 Mbps sans choix moins élevé
Le câble très court, peu pratique
La réduction de l’angle de champ
Le niveau audio un peu faible
Mode 4K HDR contraignant
La commande vocale uniquement en français ou mandarin
L’adaptateur spécifique DJI pour micro
Quelle difficulté à départager ces deux caméras qui ont chacune leurs atouts et leurs petits vilains défauts ! D’abord, retenez que la qualité d’image et la stabilisation se valent entre DJI et GoPro, avec un contraste peut-être un peu plus renforcé chez GoPro lorsque le HDR de l’Osmo n’est pas activé. La sensibilité ne parvient pas non plus à départager les rivaux, sachant qu’elle est aussi limitée chez l’une que chez l’autre ! 🙂

L’actioncam DJI a pour elle une conception repensée en s’inspirant pourtant de très près de la GoPro. Le fabricant chinois a amélioré les points faibles de la Hero7 ou 6 Black comme ce très utile écran avant, ou encore le système de démontage rapide. Il a aussi proposé une très convaincante correction de la perspective qui fonctionne même en 4K. Le système de lentille est aussi bien pensé à condition que les accessoires de type filtres soient bien disponibles dans un avenir proche.

DJI est seul à proposer une personnalisation de la navigation et un double écran. Globalement son ergonomie est mieux réfléchie, même si souvent les habitudes d’utilisation d’une actioncam font que vous allez aussi vite avec l’une qu’avec l’autre.

Les principaux griefs ? Le temps de latence suffisamment long pour être pénible entre un mouvement et sa visualisation à l’écran, mais DJI a confirmé y travailler. Le responsable est le stabilisateur, puisqu’en le désactivant, le problème disparaît. Autres reproches, l’assez forte réduction de l’angle de champ lorsqu’on applique à la fois la stabilisation et la correction de distorsion. Enfin ni mode Protune ni TimeWarp ni GPS et un débit assez élevé (100 Mbps), ce qui consomme plus d’espace mémoire.

Pour départager les deux rivales, il faut étudier ce qui retient le plus votre attention. Certains ne jurent que par le SuperWide (ici absent), d’autres par le Protune (également absent), d’autres enfin préféreront les atouts de DJI comme le double écran, la personnalisation, l’ergonomie mieux étudiée, la qualité du Ralenti 4x et 8x, ou la faculté de choisir un angle moins déformant en 4K.

Une certitude : pour le vloging, la DJI l’emporte sur la Hero 7 Black.

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